Gérer les départs sans culpabiliser
Situation réelle “Alice démissionne.” Première réaction : panique, sentiment d’échec, culpabilité. Puis parfois : colère, sentiment de trahison. Ces émotions sont humaines mais ne doivent pas dicter la réponse. Ce que j’ai observé : un départ bien géré peut renforcer la culture. Un départ mal géré peut détruire la confiance de ceux qui restent. Le faux problème Le faux problème serait de croire qu’un départ est toujours un échec. En réalité, les gens évoluent, changent de trajectoire, et c’est normal. Certains départs sont même sains. ...