Droit à l'erreur : comment le rendre réel, pas cosmétique
Situation réelle “Chez nous, on a droit à l’erreur.” Puis première erreur significative, et c’est le blame, la tension, la peur. Le “droit à l’erreur” était cosmétique, pas réel. Ce que j’ai observé : le vrai droit à l’erreur se mesure à la première erreur significative. Si elle mène à apprentissage sans blame, c’est réel. Si elle mène à pun ition ou évitement, c’était cosmétique. Le faux problème Le faux problème serait de croire que “droit à l’erreur” signifie “zéro conséquence”. En réalité, il signifie “conséquences orientées apprentissage, pas punition”. ...