Et si développer un logiciel en open source était source de qualité ?
Situation réelle Imaginez cette situation : vous travaillez sur un projet interne, protégé par les murs invisibles de votre organisation. Les tests automatisés ? Une bonne intention, mais trop souvent reléguée au second plan. Un bout de code rapide et bancal ? Pourquoi pas, si ça “fait le job” pour la prochaine démo. Après tout, qui verra ces raccourcis ? Ce que j’ai observé : lorsqu’un projet est gardé dans un environnement fermé, il est tentant de sacrifier la qualité sur l’autel de la rapidité. Le “quick and dirty” devient une norme acceptable car les conséquences sont souvent invisibles à court terme. Mais cette approche peut rapidement dégénérer en une dette technique difficile à gérer. ...